- Il est possible de soumettre une plainte concernant des violations qui ne se sont pas encore produites, mais qui risquent fortement de se produire.
- Il est possible de soumettre une plainte concernant un projet de loi, une politique ou une pratique considérée comme n’étant pas pleinement compatible avec les normes internationales en matière de droits de l’homme.
- La procédure est très souple :
- Il n’est pas nécessaire d’avoir épuisé les recours internes.
- L’État sur lequel porte la plainte ne doit pas nécessairement avoir ratifié un traité spécifique relatif aux droits de l’homme.
- La procédure peut être utilisée en parallèle avec d’autres procédures de plaintes internationales et régionales.
- Le résultat est transparent : les lettres envoyées et les réponses reçues sont toutes rendues publiques une fois la période de confidentialité terminée.
Chaque expert décidera de la suite à donner à une plainte déposée, sur la base des informations reçues et de la portée de son mandat.
Cette décision dépend également de critères définis dans le Code de conduite des experts. Il n’est pas nécessaire d’avoir épuisé toutes les voies de recours internes.
- Tout État Membre des Nations Unies (il n’est pas nécessaire que l’État en question ait ratifié les traités spécifiques relatifs aux droits de l’homme)
- Les organisations intergouvernementales
- Les acteurs non étatiques, dont les entreprises
- Les lettres envoyées aux gouvernements par les titulaires de mandat au titre des procédures spéciales restent confidentielles pendant un maximum de 60 jours.
- Les lettres envoyées aux gouvernements sur les projets de loi et les politiques restent confidentielles pendant un maximum de deux jours ouvrables.
- Il est possible de soumettre une plainte concernant des violations qui ne se sont pas encore produites, mais qui risquent fortement de se produire.
- Il est possible de soumettre une plainte concernant un projet de loi, une politique ou une pratique considérée comme n’étant pas pleinement compatible avec les normes internationales en matière de droits de l’homme.
- La procédure est très souple :
- Il n’est pas nécessaire d’avoir épuisé les recours internes.
- L’État sur lequel porte la plainte ne doit pas nécessairement avoir ratifié un traité spécifique relatif aux droits de l’homme.
- La procédure peut être utilisée en parallèle avec d’autres procédures de plaintes internationales et régionales.
- Le résultat est transparent : les lettres envoyées et les réponses reçues sont toutes rendues publiques une fois la période de confidentialité terminée.
Les informations reçues sont passées en revue et transmises aux titulaires de mandat au titre des procédures spéciales pertinents.
Les experts examineront ces informations pour déterminer s’il y a lieu de donner suite à la demande.
Si un ou plusieurs experts décident de s’occuper de la plainte, vous n’en serez pas informé(e). La lettre portant sur le cas en question sera publiée sur le site des communications publiques et dans l’un des trois rapports remis au Conseil des droits de l’homme chaque année.
Les titulaires de mandat au titre des procédures spéciales s’efforcent d’agir au plus vite. Les cas les plus graves et les plus urgents font l’objet d’une attention particulière. Les cas peuvent être traités dans les 24 heures suivant leur envoi. Toutefois, cela peut prendre plus de temps, notamment lorsque la soumission ne contient pas suffisamment d’informations.
Utilisez le formulaire en ligne (recommandé) OU envoyez votre plainte par courriel ou par courrier (HCDH-ONUG, 8-14 Avenue de la Paix, 1211 Genève 10, Suisse).
En savoir plus : page principale consacrée aux procédures spéciales